Frédéric Challos

Metteur en scène, comédien, chanteur, auteur-compositeur, guitariste, il met en scène des spectacles au sein de la Compagnie Attrape-Rêves Théâtre et anime des ateliers et des stages depuis plus de 15 ans.

Après de nombreux ateliers et stages de théâtre à l'âge du Lycée et des premieres experiences artistiques en groupe (C .Taponard, S. Meige, D. Pouthier, Y. Charreton, F. Coupat, T. Chantrel...), de Clown et de travail du corps avec des comédiens, danseurs et metteurs en scènes, il fait un parcours dans le spectacle comme comédien (Le Théâtre Ambulant Chopalovitch, Les Liaisons Dangereuses, La Dispute...), un passage à l'Ecole Florent (M. Harfaut, J-P Garnier), au Studio Jack Garfein à Paris (Membre de l'Actor's Studio), puis se forme ensuite au Conservatoire Supérieur d'Art Dramatique de Genève (E.S.A.D.), puis en stage au Théâtre du Soleil <#> avec Ariane Mnouchkine.

Il se tourne alors vers la Psychanalyse, la PNL, et les approches de l'Art et de la formation de l'Acteur favorisant le développement de la créativité et de la personne humaine, notamment auprès de Jean-Luc Bosc, de Philippe Hottier pour le travail du mouvement et le jeu du masque, et avec divers pédagogues du travail de la voix et du chant en lien avec la présence.

Familiarisé avec des techniques de danses et de pédagogie du mouvement avec des chorégraphes, à la danse contact improvisation (Joël Liennel, L. Chourlin, Lila Greene), à la Langue des Signes Française (LSF 8) à l'international Visual Theatre <#> (I.V.T.), il intègre à son travail une longue complicité personnelle avec des pratiques corporelles tel que le Yoga et l’Assise, notament Zazen dans les Dojos de l'A.Z.I.

"Maître Praticien" en PNL, côtoyant plusieurs approches de la communication et de la relation (Rebirth, Psychanalyse...), il a notamment suivi l'enseignement de Jacques De Panafieu.

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"Lorsque, jour après jour nous renouvelons un exercice, jusqu'à en maîtriser la technique, l'ego passe au second plan et laisse place à notre être essentiel qui alors pénètre notre conscience."
K.G. Dürckheim